Mobilité à l’international
Parallèlement à la mise en place de structures internationales telles que les IRL, IRP et IRN, CNRS Sciences informatiques encourage les chercheuses, chercheurs, enseignantes-chercheuses et enseignants-chercheurs de ses laboratoires à effectuer des séjours de moyenne ou de longue durée à l’étranger, typiquement dans des IRL. La mobilité peut, par exemple, reposer sur une demande d’Accueil en Délégation auprès du CNRS (dans le cadre de la campagne nationale annuelle).
En plus des missions et des missions de longue durée, qui doivent être mises en place au niveau des laboratoires, CNRS Sciences informatiques offre la possibilité de partir un an (renouvelable une fois) en expatriation dans un IRL. Il est vivement conseillé de prendre contact via l’adresse ins2i-international@cnrs.fr, ainsi qu’avec le directeur ou la directrice d'unité de l’IRL, en amont de la candidature.
Pour les enseignantes-chercheuses et les enseignants-chercheurs, la candidature se fait au niveau d’une demande d’Accueil en Délégation auprès du CNRS (dans le cadre de la campagne nationale annuelle), l’accueil en délégation étant nécessaire pour une expatriation.
Pour les chercheurs et les chercheuses du CNRS, la candidature se fait en envoyant un dossier (projet scientifique, CV, liste de publications, lettres de soutien du directeur de l’unité d’affectation et du directeur de l’IRL souhaité, lettre d’accompagnement précisant le lieu et les dates prévisionnelles du séjour) à ins2i-international@cnrs.fr au plus tard le 1er décembre pour un départ l’année universitaire suivante. Un échange préalable avec l’institut est souhaitable avant de se lancer dans la constitution du dossier.
Pour les chercheurs et les chercheuses, et les enseignantes-chercheuses et les enseignants-chercheurs qui n'entrent pas dans ces deux cas, il faut contacter ins2i-international@cnrs.fr.
Dans tous les cas, il faut également envoyer le dossier de candidature au directeur ou à la directrice de l’IRL.
L’institut arbitre les expatriations en mars en fonction de la pertinence des projets pour les IRL et du nombre de demandes.
Découvrez les témoignages de trois chercheurs et chercheuses ayant vécu une expérience de mobilité internationale :
Caroline Chaux : mobilité internationale au CNRS en période de pandémie
Yann Ponty : « Naviguer entre la France et le Canada a été extrêmement dynamisant »
Guillaume Chapuy : « S’expatrier est une autre forme de remise en question »